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30 janvier 1933 : Hitler prend le pouvoir"
jeudi 31 janvier 2008
mercredi 30 janvier 2008
Nord-Kivu (RDC) : Le cessez-le-feu aura tenu 5 jours ! : AFRIKARABIA2
Nord-Kivu (RDC) : Le cessez-le-feu aura tenu 5 jours ! : AFRIKARABIA2: http://afrikarabia2.blogs.courrierinternational.com/trackback/6260
28.01.2008
Nord-Kivu (RDC) : Le cessez-le-feu aura tenu 5 jours !
Tous les belligérants s'accusent mutuellement d'avoir violé lundi le cessez-le-feu instauré au Nord-Kivu, à peine cinq jours après l'engagement des groupes armés locaux à cesser les hostilités dans cette région de l'est de la République démocratique du Congo. Les combats ont donc repris sur le territoire de Masisi.
Le Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), le mouvement du chef rebelle tutsi congolais Laurent Nkunda, et les Patriotes résistants congolais (Pareco), une milice d'auto-défense Maï Maï regroupant des combattants issus de plusieurs ethnies, se sont rejetés la responsabilité du déclenchement des hostilités.
Pareco (Maï-Maï) contre CNDP
"Les Pareco et FDLR (rebelles hutus rwandais) ont attaqué nos positions" près de Ngungu, localité située à environ 40 km à l'ouest de la capitale provinciale Goma, a déclaré Séraphin Mirindi, porte-parole militaire du CNDP. De son côté, le porte-parole des Pareco, Museveni Sendungu, a accusé les hommes du CNDP d'avoir "attaqué les premiers". "Nous n'allions pas rester les bras croisés". Selon le Pareco, leurs positions de Kaseke et Kisonga ont été attaquées simultanément vers 5 heures locale ce lundi par les troupes du CNDP.
La Mission de l'ONU en RDC (Monuc) a annoncé avoir envoyé des patrouilles pour vérifier "des allégations de violation du cessez-le-feu". "Nous avons reçu des informations concernant des combats entre différentes factions du CNDP et des Maï Maï", a déclaré Sylvie van den Wildenberg, porte-parole de la Monuc au Nord-Kivu.
Les FDLR se battent entre eux
Dans le même chapitre des violences, notons que des combats ont opposé ce matin des FDLR du mouvement RUD à des dissidents FDLR à Kiseguru.
Ce village est situé à 90 kilomètres au nord est de Goma dans le territoire de Rutshuru. D’après les notables de Rutshuru, ces affrontements sont occasionnés par le pillage des biens de la population par la faction dissidente des Fdlr. Ces rebelles dissidents sont accusés aussi d’avoir totalement dépouillé la population du village Buganza, à 10 kilomètres de Nyamilima sur la route de Ishasha.
Pour l’instant, les responsables des Fardc ne se sont pas encore prononcés sur la recrudescence des combats dans la région.
28.01.2008
Nord-Kivu (RDC) : Le cessez-le-feu aura tenu 5 jours !
Tous les belligérants s'accusent mutuellement d'avoir violé lundi le cessez-le-feu instauré au Nord-Kivu, à peine cinq jours après l'engagement des groupes armés locaux à cesser les hostilités dans cette région de l'est de la République démocratique du Congo. Les combats ont donc repris sur le territoire de Masisi.
Le Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), le mouvement du chef rebelle tutsi congolais Laurent Nkunda, et les Patriotes résistants congolais (Pareco), une milice d'auto-défense Maï Maï regroupant des combattants issus de plusieurs ethnies, se sont rejetés la responsabilité du déclenchement des hostilités.
Pareco (Maï-Maï) contre CNDP
"Les Pareco et FDLR (rebelles hutus rwandais) ont attaqué nos positions" près de Ngungu, localité située à environ 40 km à l'ouest de la capitale provinciale Goma, a déclaré Séraphin Mirindi, porte-parole militaire du CNDP. De son côté, le porte-parole des Pareco, Museveni Sendungu, a accusé les hommes du CNDP d'avoir "attaqué les premiers". "Nous n'allions pas rester les bras croisés". Selon le Pareco, leurs positions de Kaseke et Kisonga ont été attaquées simultanément vers 5 heures locale ce lundi par les troupes du CNDP.
La Mission de l'ONU en RDC (Monuc) a annoncé avoir envoyé des patrouilles pour vérifier "des allégations de violation du cessez-le-feu". "Nous avons reçu des informations concernant des combats entre différentes factions du CNDP et des Maï Maï", a déclaré Sylvie van den Wildenberg, porte-parole de la Monuc au Nord-Kivu.
Les FDLR se battent entre eux
Dans le même chapitre des violences, notons que des combats ont opposé ce matin des FDLR du mouvement RUD à des dissidents FDLR à Kiseguru.
Ce village est situé à 90 kilomètres au nord est de Goma dans le territoire de Rutshuru. D’après les notables de Rutshuru, ces affrontements sont occasionnés par le pillage des biens de la population par la faction dissidente des Fdlr. Ces rebelles dissidents sont accusés aussi d’avoir totalement dépouillé la population du village Buganza, à 10 kilomètres de Nyamilima sur la route de Ishasha.
Pour l’instant, les responsables des Fardc ne se sont pas encore prononcés sur la recrudescence des combats dans la région.
La violence ne faiblit pas au Kenya
La violence ne faiblit pas au Kenya
La violence ne faiblit pas au Kenya
A Nairobi mardi. (Reuters)
Serv. Etr. (avec AFP)
QUOTIDIEN : mercredi 30 janvier 2008
Alors que les violences continuent d’ensanglanter le Kenya, des pourparlers directs se sont ouverts, hier, à Nairobi entre le président Mwai Kibaki et son rival Raila Odinga, sous l’égide de l’ancien secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan. «Je suis profondément attristé de voir les Kényans s’affronter violemment les uns les autres sur des sujets qui peuvent être discutés et résolus pacifiquement par le dialogue, a déclaré le chef de l’Etat. Nous allons à partir de maintenant prendre des mesures sévères contre ceux qui tentent de perturber la paix ou d’utiliser la violence contre les citoyens pacifiques.»
Sur le même sujet
Violences accrues dans un Kenya divisé
GALERIE PHOTO La vallée du Rift s'embrase
Fiefs. De son côté, le chef de l’opposition, Raila Odinga, qui conteste la validité du scrutin du 27 décembre, n’a rien lâché, affirmant que «le plus urgent» était «de régler les résultats profondément imparfaits de l’élection présidentielle». Il a, de nouveau, réclamé la levée de l’interdiction des manifestations, en vigueur depuis fin décembre.
La journée d’hier a notamment été marquée par l’assassinat dans la capitale d’un député d’opposition. Ce meurtre a immédiatement provoqué de violentes protestations dans les fiefs électoraux de Raila Odinga, à Kisumu (Ouest) et dans le plus grand bidonville de Nairobi. Au total, au moins 22 personnes ont été tuées depuis lundi soir.
Pour la première fois, hier, des hélicoptères de l’armée ont même ouvert le feu alors qu’ils survolaient des groupes rivaux à Naivasha, dans la vallée du Rift (ouest), épicentre des violences entre communautés liées à l’élection contestée du 27 décembre. Près de 1 000 personnes ont été tuées et environ 250 000 déplacées dans les violences qui ont suivi l’annonce de la victoire du président sortant, Mwai Kibaki.
«Ni loi ni ordre». Hier, les Etats-Unis se sont dits «profondément préoccupés» par les violences au Kenya et ont appelé toutes les parties à la retenue. De son côté, l’Unicef a sévèrement reproché au gouvernement kényan son incapacité à protéger les civils : «L’Etat a échoué dans sa tâche de protection. Il semble que, dans de nombreux endroits, il n’y a plus ni loi ni ordre et que des massacres à la machette se multiplient.»
Dimanche, une équipe de protection de l’Unicef venue parler à des victimes de viols dans un camp de personnes déplacées du nord de la vallée du Rift avait été prise à partie par un groupe d’une quinzaine d’hommes.
Elisabeth Byrs, porte-parole du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU, a souligné que le nombre de cas de violences sexuelles avait doublé au Kenya depuis le début de la crise et qu’elles frappaient aussi désormais des garçons. Sur le terrain, plusieurs cas de «circoncision de force» ont été signalés ces dernières semaines à l’encontre de membres de l’ethnie Luo, qui, à l’inverse des Kikuyus, l’ethnie du président Kibaki et la plus nombreuse du pays, ne se font pas circoncire.
La violence ne faiblit pas au Kenya
A Nairobi mardi. (Reuters)
Serv. Etr. (avec AFP)
QUOTIDIEN : mercredi 30 janvier 2008
Alors que les violences continuent d’ensanglanter le Kenya, des pourparlers directs se sont ouverts, hier, à Nairobi entre le président Mwai Kibaki et son rival Raila Odinga, sous l’égide de l’ancien secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan. «Je suis profondément attristé de voir les Kényans s’affronter violemment les uns les autres sur des sujets qui peuvent être discutés et résolus pacifiquement par le dialogue, a déclaré le chef de l’Etat. Nous allons à partir de maintenant prendre des mesures sévères contre ceux qui tentent de perturber la paix ou d’utiliser la violence contre les citoyens pacifiques.»
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Fiefs. De son côté, le chef de l’opposition, Raila Odinga, qui conteste la validité du scrutin du 27 décembre, n’a rien lâché, affirmant que «le plus urgent» était «de régler les résultats profondément imparfaits de l’élection présidentielle». Il a, de nouveau, réclamé la levée de l’interdiction des manifestations, en vigueur depuis fin décembre.
La journée d’hier a notamment été marquée par l’assassinat dans la capitale d’un député d’opposition. Ce meurtre a immédiatement provoqué de violentes protestations dans les fiefs électoraux de Raila Odinga, à Kisumu (Ouest) et dans le plus grand bidonville de Nairobi. Au total, au moins 22 personnes ont été tuées depuis lundi soir.
Pour la première fois, hier, des hélicoptères de l’armée ont même ouvert le feu alors qu’ils survolaient des groupes rivaux à Naivasha, dans la vallée du Rift (ouest), épicentre des violences entre communautés liées à l’élection contestée du 27 décembre. Près de 1 000 personnes ont été tuées et environ 250 000 déplacées dans les violences qui ont suivi l’annonce de la victoire du président sortant, Mwai Kibaki.
«Ni loi ni ordre». Hier, les Etats-Unis se sont dits «profondément préoccupés» par les violences au Kenya et ont appelé toutes les parties à la retenue. De son côté, l’Unicef a sévèrement reproché au gouvernement kényan son incapacité à protéger les civils : «L’Etat a échoué dans sa tâche de protection. Il semble que, dans de nombreux endroits, il n’y a plus ni loi ni ordre et que des massacres à la machette se multiplient.»
Dimanche, une équipe de protection de l’Unicef venue parler à des victimes de viols dans un camp de personnes déplacées du nord de la vallée du Rift avait été prise à partie par un groupe d’une quinzaine d’hommes.
Elisabeth Byrs, porte-parole du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU, a souligné que le nombre de cas de violences sexuelles avait doublé au Kenya depuis le début de la crise et qu’elles frappaient aussi désormais des garçons. Sur le terrain, plusieurs cas de «circoncision de force» ont été signalés ces dernières semaines à l’encontre de membres de l’ethnie Luo, qui, à l’inverse des Kikuyus, l’ethnie du président Kibaki et la plus nombreuse du pays, ne se font pas circoncire.
mercredi 23 janvier 2008
samedi 19 janvier 2008
La reine était "inquiète" de la liaison entre Diana et Dodi - MSN Divertissements - Potins de stars
La reine était "inquiète" de la liaison entre Diana et Dodi
La reine Elizabeth II était "inquiète" de la liaison entre la princesse Diana et son dernier compagnon Dodi Al-Fayed, a affirmé l'ancien majordome de la princesse, Paul Burrell, lors d'une audience de l'enquête judiciaire à Londres.
"Sa Majesté était inquiète de voir que la princesse était plutôt surexcitée" pendant sa liaison avec Dodi, a expliqué l'ex-domestique et confident de la princesse, qui avait auparavant travaillé au service de la reine. La souveraine aurait fait cette remarque lors d'une rencontre avec Paul Burrell quelques semaines après la mort de Diana et Dodi Al-Fayed, a-t-il expliqué. C'est lors de cette même entrevue que la souveraine l'aurait mis en garde contre de mystérieuses "forces à l'oeuvre dans ce pays dont nous n'avons pas connaissance", selon lui. Le père de Dodi, le milliardaire égyptien propriétaire du magasin Harrods, Mohamed Al-Fayed, affirme que le couple a été tué dans le cadre d'un complot ourdi par l'époux de la reine, le prince Philip, pour éviter que Diana, mère d'un futur roi d'Angleterre, n'épouse un musulman. (BEM)
La reine était "inquiète" de la liaison entre Diana et Dodi - MSN Divertissements - Potins de stars
La reine Elizabeth II était "inquiète" de la liaison entre la princesse Diana et son dernier compagnon Dodi Al-Fayed, a affirmé l'ancien majordome de la princesse, Paul Burrell, lors d'une audience de l'enquête judiciaire à Londres.
"Sa Majesté était inquiète de voir que la princesse était plutôt surexcitée" pendant sa liaison avec Dodi, a expliqué l'ex-domestique et confident de la princesse, qui avait auparavant travaillé au service de la reine. La souveraine aurait fait cette remarque lors d'une rencontre avec Paul Burrell quelques semaines après la mort de Diana et Dodi Al-Fayed, a-t-il expliqué. C'est lors de cette même entrevue que la souveraine l'aurait mis en garde contre de mystérieuses "forces à l'oeuvre dans ce pays dont nous n'avons pas connaissance", selon lui. Le père de Dodi, le milliardaire égyptien propriétaire du magasin Harrods, Mohamed Al-Fayed, affirme que le couple a été tué dans le cadre d'un complot ourdi par l'époux de la reine, le prince Philip, pour éviter que Diana, mère d'un futur roi d'Angleterre, n'épouse un musulman. (BEM)
La reine était "inquiète" de la liaison entre Diana et Dodi - MSN Divertissements - Potins de stars
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