samedi 30 décembre 2006

Exécution Saddam: l'ancien président pendu à Bagdad



(Belga) L'ancien président irakien Saddam Hussein, condamné à mort pour l'exécution de 148 villageois chiites dans les années 1980, a été pendu samedi à l'aube à Bagdad, a annoncé la télévision publique irakienne Iraqia.
"L'exécution de Saddam Hussein est terminée", a annoncé la télévision par un bandeau incrusté à l'écran, sur fond d'image du Coran et de psalmodies. Saddam Hussein, qui a dirigé le pays d'une main de fer de 1979 jusqu'à la chute du régime en avril 2003, a été condamné à mort par pendaison le 5 novembre pour le massacre de 148 villageois chiites de Doujaïl, au nord de Bagdad, tués en représailles après un attentat manqué contre le convoi présidentiel en 1982. Son appel a été rejeté mardi 26 décembre par la cour d'appel du Haut tribunal.(KET)



lundi 25 décembre 2006

RDC: nouvelle offensive d'un groupe rebelle dans l'Ituri


Rien ne changera jamais, même avec des élections....


(Belga) Les hostilités ont repris dimanche entre l'armée congolaise et les combattants du Front des nationalistes et intégrationnistes (FNI) de l'ex-chef rebelle Peter Karim, qui ont pris le contrôle de plusieurs localités du district de l'Ituri (nord-est de la République démocratique du Congo), a rapporté lundi la radio onusienne Okapi.
© BELGA
L'offensive du FNI a débuté dimanche matin à Laudju, village situé au nord de Bunia, le chef-lieu de ce district troublé, a précisé Radio Okapi, citant l'administrateur du territoire de Djugu. Les hommes de Peter Karim ont ouvert le feu sur les positions des Forces armées de la RDC (FARDC), s'emparant successivement des localités de Laudju, de Djugu et de Fataki. (EDR)



Décès du chanteur James Brown(lundi 25 décembre 2006)


(Belga) Le chanteur américain James Brown, le "parrain de la musique Soul", est mort lundi à Atlanta à l'âge de 73 ans.
© BELGA/AG
Né en 1933, James Brown était un des fondateurs de la Soul et de la Funk Music. Il a eu une influence sur de très nombreux musiciens. Ses chansons les plus célèbres étaient notamment "Papa's Got a Brand New Bag", "It's a Man's Man's Man's World", et "Get Up (I Feel Like Being Like A) Sex Machine". (lar)



vendredi 22 décembre 2006

RDC: Antoine Gizenga accepte le rôle d'informateur


(Belga) Le secrétaire général du parti lumumbiste unifié (PALU), Antoine Gizenga, s'est dit mercredi dit prêt à assumer la tâche d'informateur en vue de la formation du nouveau gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC).
© BELGA/AG
"Comme vous l'avez appris par la voie des ondes, j'ai été chargé par le président de la République, Joseph Kabila Kabange, d'une mission d'informateur. J'ai accepté et je vais m'y mettre pour que dans un délai raisonnable nous puissions avoir les éléments nécessaires pour désigner un formateur", a déclaré M. Gizenga au cours d'un point de presse en sa résidence à Kinshasa, selon la radio onusienne Okapi. M. Gizenga, 81 ans, surnommé "le patriarche", a ajouté qu'il allait recevoir les groupes politiques pour voir si le camp présidentiel dispose réellement de la majorité au sein de l'Assemblée nationale. "Ce ne sera pas chose tellement difficile. Mais nous devons le réaliser pour permettre au chef de l'Etat de choisir un premier ministre formateur du gouvernement", a-t-il conclu. (GFR)



lundi 11 décembre 2006

L'ex-dictateur Pinochet est mort

Encore une figure de l'histoire qui s'en va...



SANTIAGO, 11 déc 2006 (AFP) - L'ancien dictateur chilien, le général Augusto Pinochet, est mort dimanche à Santiago à l'âge de 91 ans et son décès survenu, le jour où l'on célèbre internationalement les droits de l'Homme, tourne une page noire de l'histoire du Chili auquel il a imposé l'un des régimes militaires les plus répressifs d'Amérique latine.

Augusto Pinochet est décédé à 14H15 locale (17H15 GMT) à l'hôpital militaire de la capitale chilienne où il avait été hospitalisé il y a une semaine après avoir été victime d'un infarctus du myocarde et d'un oedème pulmonaire.

Sa dépouille mortelle a été transportée de l'hôpital à l'Ecole militaire où une chapelle ardente a été dressée pour l'hommage militaire prévu mardi.

L'ancien président de facto (1973-1990) et ancien commandant en chef de l'armée (1973-1998), dont la dépouillée sera incinérée, recevra les honneurs militaires mais ne fera pas l'objet d'obsèques nationales ni d'un deuil national, conformément à la décision prise par la présidente du Chili, Michelle Bachelet.

De violents incidents ont éclaté à Santiago dimanche soir entre des manifestants célébrant sa mort et la police, faisant au moins six blessés parmi les policiers et conduisant à plusieurs arrestations. Les violences ont gagné plusieurs quartiers périphériques de Santiago, où les manifestants ont mis le feu à des barricades et à au moins trois véhicules, selon des sources policières, qui ont fait état de coups de feu. Des violences ont également été enregistrées dans une dizaine de villes du pays, selon le sous-secrétaire du ministère de l'Intérieur, Felipe Harboe.

Pinochet, qui a gouverné le Chili de 1973 à 1990, est mort peu après avoir été transporté dans le service d'urgence à la suite de complications. Son état, qui évoluait favorablement, s'était brusquement dégradé dimanche matin. Selon le docteur Ignacio Vergara, le chef de l'équipe médicale, Pinochet a été frappé d'une crise cardiaque multiple à 13H30 et est mort à 14H15 en dépit des soins prodigués par les médecins. "Il était entouré par sa famille" au moment du décès, a précisé le médecin.
Les opposants du général, en apprenant son décès, sont descendus par milliers dans la rue pour célébrer sa mort. Des voitures se sont mises à klaxonner et une centaine de personnes se sont rassemblées sur la Place d'Italie à proximité du centre de Santiago, lieu traditionnel des rassemblements à Santiago. Agitant des drapeaux chiliens et sautant de joie, des milliers d'opposants - pour la plupart des jeunes - dansaient, chantaient et festoyaient au nom de la "libération du Chili", selon un reportage de la télévision nationale chilienne.

L'ancien secrétaire général du gouvernement durant la dictature, Francisco Javier Cuadra a appelé les détracteurs de l'ex-général "à la modération". "Cela est lamentable, cela donne raison à ceux qui disent que la haine ne peut s'apaiser et que la société chilienne reste divisée au sujet de la figure de l'ex-dictateur", a ajouté M. Cuadra à la télévision nationale.

En revanche, ses sympathisants ont éclaté en sanglots en apprenant le décès du général. Très émus, les fidèles de l'ex-dictateur ont entonné l'hymne national chilien.
Des incidents ont éclaté dans la soirée à proximité du palais présidentiel lorsque la police a voulu arrêter une colonne d'un millier de manifestants qui célèbraient sa mort. La police a utilisé des canons à eau et des grenades lacrymogène tandis que les jeunes manifestants lancaient des bouteilles et des pierres sur les forces de l'ordre.
L'Eglise catholique a lancé dimanche soir un appel à la "sérénité et à la sagesse" aux partisans et détracteurs de Pinochet. Le président de la conférence episcopale, Mgr Alejandro Goic, a déclaré "nous ne pouvons vivre ancré dans le passé. Il est nécessaire d'affronter ce moment avec une profonde sérénité". Le général Pinochet s'était emparé du pouvoir à la suite d'un coup d'Etat le 11 septembre 1973 contre le président socialiste Salvador Allende et la répression sanglante qui s'ensuivit fit plus de 3.000 morts, selon les organisations de défense des droits de l'Homme.

Le dictateur, qui n'a jamais été condamné par la justice chilienne, a fait l'objet de nombreuses poursuites judiciaires pour violations des droits de l'Homme et corruptions après notamment la découverte de comptes secrets dans une banque aux Etats-Unis.

A Londres, l'ancien premier ministre britannique Margaret Thatcher, qui maintenait une relation suivie avec le général Pinochet, s'est dite "profondément triste".
La Maison Blanche a indiqué que "ses pensées allaient aujourd'hui aux victimes de son règne et à leur famille".

Des défenseurs des droits de l'Homme à Lima ont souligné l'ironie de ce décès survenu le jour où l'on célèbre internationalement les droits de l'Homme. "C'est une coïncidence ironique que lorsqu'on célèbre les valeurs de la vérité et de la justice dans le monde, un faiseur de crimes meurt", a déclaré l'avocat Francisco Soberon.

dimanche 10 décembre 2006

RDC: Kabila pris au mot: détenus s'évadent, persuadés d'être graciés

Je m'oriente,à titre de souvenir,à collecter les informations sur le Congo où j'ai vécu pas mal d'années....
Il faut souvent l'avoir vécu pour y croire....

"Belga) Trente-quatre détenus se sont évadés d'une prison de République démocratique du Congo, faisant valoir à leurs geôliers une libre interprétation du discours d'investiture de Joseph Kabila qui avait promis que les prisons seraient "ouvertes" aux fauteurs de troubles.
"J'entends avertir que les prisons de l'Etat seront ouvertes à tous ceux qui se mettront en travers de la loi", avait déclaré le chef de l'Etat le 6 décembre dans un discours d'investiture emprunt de fermeté, après son élection au second tour de la présidentielle du 29 octobre. Le jour même, 34 détenus de la prison de Kikwit ont exigé, après avoir écouté le discours du président à la radio nationale, de pouvoir bénéficier immédiatement de cette exceptionnelle mesure de "grâce présidentielle". Les prisonniers ont eux-mêmes ouverts les portes de la prison, avec la complicité passive des policiers affectés à leur garde, visiblement perplexes après le discours présidentiel. Les heureux "graciés" se sont fondus dans la population de 500.000 habitants de Kikwit et n'avaient pas été retrouvés samedi. (cya)"



vendredi 8 décembre 2006

Me revoilà, connecté ave la version de windows live writer.
Il parait que certaines mises en forme ne sont pas respectées.
Dommage,car cet outil est super pour envoyer des notes sur son blog en vitesse.

Pas de bol,impossible d'envoyer sur le blog avec le window live writer,dommage,car cela aurait été plus facile.

Voilà donc mon premier message..........
La suite viendra plus tard..........