mercredi 23 avril 2008
Burundi: tirs d'obus rebelles sur la capitale dans la nuit - MSN Actualités - Actualité étrangère - actualités
Burundi: tirs d'obus rebelles sur la capitale dans la nuit
Les rebelles burundais des Forces nationales de libération (FNL) ont tiré dans la nuit de mardi à mercredi, et pour la troisième fois en moins d'une semaine, une dizaine d'obus sur la capitale burundaise.
"Les rebelles des FNL ont tiré hier (mardi) soir entre 21H00 (20H00, HB) et minuit depuis les hauteurs qui surplombent Bujumbura une dizaine d'obus sur la capitale, (...), on n'a pas encore de bilan pour cette nouvelle attaque", a annoncé le porte-parole de l'armée, le lieutenant-colonel Adolphe Manirakiza. "Un des obus est tombé sur le bâtiment de la nonciature apostolique (représentation du Saint Siège au Burundi), il n'y a aucun dégât humain même si il y a dommages matériels", a précisé sous couvert d'anonymat un diplomate occidental en poste à Bujumbura, en ajoutant que "le nonce avait déjà regagné sa résidence située plus haut". Selon des sources militaires, la nonciature a été touchée par une roquette katioucha. Des bruits d'explosions et de tirs à la mitrailleuse lourde ont été entendus à travers toute la ville de Bujumbura dans la nuit. (GFR)
lundi 21 avril 2008
Des soldats français soupçonnés de torture au Congo
Des soldats français soupçonnés de torture au Congo
(Reuters)
Des soldats suédois mettent en cause l’attitude d’un colonel français en RDC en 2003.
SEBASTIEN BUFFET (à Stockholm) et THOMAS HOFNUNG
QUOTIDIEN : samedi 19 avril 2008
Des actes de torture commis par des militaires français devant des soldats suédois qui restent de marbre : ces faits, très graves, se seraient déroulés en 2003, dans la province de l’Ituri, dans le nord-est de la République démocratique du Congo. Pour la première fois de son histoire, l’Union européenne avait déployé une opération de maintien de la paix sur le continent africain, baptisée Artémis. Cinq ans plus tard, l’affaire resurgit après la diffusion, début avril, d’un documentaire à la télévision publique suédoise, la SVT. Une enquête embarrassante pour Stockholm, dont la décision de participer à une autre force européenne (l’Eufor), en cours de déploiement dans l’est du Tchad, a suscité de vifs débats en Suède.
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Simulacre d’exécution. Embarrassante, l’affaire l’est également pour Paris. Mise en cause, l’armée française a décidé de lancer une «enquête approfondie» sur des faits de nature à dissuader ses partenaires européens d’envoyer des troupes au sein de l’Eufor. L’année dernière, une première investigation avait été classée sans suite. Cette nouvelle enquête a été confiée au général Paimbault, qui vient de se rendre en Suède et a entendu les militaires français soupçonnés dans cette affaire. Laquelle n’est pas sans rappeler le cas de Firmin Mahé, cet Ivoirien qui aurait été tué en 2005 par des soldats français, placé sous les ordres du général Poncet, en Côte-d’Ivoire. «Il faut lever le doute, affirme le porte-parole adjoint de l’état-major des armées à Paris, le général Christian Baptiste. Si ces faits étaient confirmés, ils seraient sanctionnés de manière impitoyable.»
Le reportage de la télévision SVT a déjà fait sa première victime : le colonel Hans Alm, qui dirigeait les forces spéciales suédoises à l’époque en Ituri et qui vient d’être relevé de son commandement… au Tchad, où il servait au sein de l’Eufor.
Le 13 juillet 2003, au Congo, cet officier placé à la tête de 80 hommes aurait assisté sans réagir à des actes de torture et même au simulacre d’exécution d’un jeune Congolais, Joseph, arrêté par les Français. Selon le reportage diffusé sur une chaîne publique et fondé sur des témoignages anonymes de soldats suédois, une corde lui aurait été passée autour du cou lors de son interpellation dans l’enceinte même du camp où il se serait introduit clandestinement. Jeté à terre, les mains liées derrière le dos, en caleçon et affublé d’une capuche noire couvrant son visage, il est «interrogé» sans ménagement. Plus tard, les militaires suédois assurent avoir entendu des cris provenant du bâtiment où il a été emmené. Pour finir, un pistolet aurait été pointé sur sa tempe par un officier français. Le colonel Christophe Rastouil, qui commandait des forces spéciales françaises en Ituri, et dont le patron à Paris est le général Henri Poncet, est nommément mis en cause. Plusieurs heures après son arrestation, Joseph est embarqué par les militaires français, «ramené dans son village» , assure Paris.
Métastases. Dans une lettre à la chaîne SVT, le colonel Rastouil a fermement rejeté les accusations portées contre lui, les qualifiant de «diffamatoires». En Suède, l’attitude du lieutenant-colonel Alm et de sa hiérarchie est pointée du doigt. L’officier aurait accepté d’étouffer l’affaire, à la demande des Français. Informé lors du retour de mission de ses soldats du Congo, en septembre 2003, l’état-major n’a pas jugé nécessaire d’ouvrir une enquête… A son retour du Congo, Hans Alm a même été promu. Le 11 avril, suite à l’émission de la SVT, il a été rappelé du Tchad, tandis que le patron des forces spéciales suédoises était suspendu, en attendant les résultats d’une enquête interne.
«Cette affaire tombe mal, analyse un diplomate français. Déjà que nous avons du mal à réunir le nombre de soldats prévus dans le cadre de l’Eufor…» Voulue par Paris pour sécuriser l’est du Tchad, en proie aux métastases du conflit au Darfour voisin, la force européenne doit permettre à des dizaines de milliers de déplacés tchadiens de rentrer chez eux. Or, l’Allemagne et la Grande-Bretagne ont refusé d’en être. La Pologne et l’Irlande ont prévu de déployer plus de 400 soldats, la Suède 260, l’Autriche 160… Au final, la France dépassera la limite qu’elle s’était fixée : la moitié des effectifs. En février, l’Autriche avait déjà exprimé des doutes sur sa participation après que Paris eût apporté un soutien déterminant au régime d’Idriss Déby, encerclé à N’Djamena par des rebelles. Depuis plusieurs années, Paris cherche à sortir de son tête-à-tête anachronique avec ses anciennes colonies en associant l’UE à des opérations ponctuelles sur le continent. Ce n’est pas gagné.
dimanche 20 avril 2008
Burundi: Brussels Airlines interrompt ses vols en raison des violences - Article - actualités
Burundi: Brussels Airlines interrompt ses vols en raison des violences
La compagnie aérienne belge Brussels Airlines a suspendu ses vols entre Bujumbura et Bruxelles pour des raisons de sécurité, en raison de la reprise des hostilités entre le gouvernement burundais et les rebelles.
"Brussels airlines a annulé ses vols qui devaient atterrir à Bujumbura dimanche et mercredi, nous espérons qu'elle reprendra ses navettes Bujumbura-Bruxelles dans une semaine", a annoncé Albert Maniratunga, directeur adjoint de la Régie des services aéronautiques du Burundi. "Brussels airlines a décidé, par mesure de précaution d'annuler le vol d'aujourd'hui sur Bujumbura en raison des événements qui viennent de se dérouler dans ce pays", a expliqué un des responsables de la communication de la compagnie aérienne. "Normalement, le vol de mercredi n'est pas annulé mais nous suivons attentivement la situation", a-t-il ajouté, alors qu'une source diplomatique à Bujumbura a assuré qu'il n'aurait pas lieu. Les rebelles burundais des Forces nationales de libération (FNL) ont lancé depuis jeudi une grande offensive sur Bujumbura et dans quatre provinces du pays, qui déjà fait au moins 26 morts, selon des sources militaires. (CYA)
Burundi: Brussels Airlines interrompt ses vols en raison des violences - Article - actualités
vendredi 18 avril 2008
Crash de Goma: 42 morts, selon un nouveau bilan toujours provisoire - MSN Actualités - Actualité étrangère - actualités
Crash de Goma: 42 morts, selon un nouveau bilan toujours provisoire
Le bilan, toujours provisoire, de l'accident d'un DC-9 de la compagnie aérienne congolaise Hewa Bora Airways, mardi à Goma (est de la République démocratique du Congo), est passé à 42 morts, a indiqué vendredi la radio onusienne Okapi.
Quatre jours après le crash, le bilan provisoire officiel fait état de 42 morts, un chiffre tenant compte des passagers de l'avion et des personnes qui se trouvaient au sol au moment de la catastrophe, a précisé Radio Okapi, parrainée par l'ONU. Quinze personnes étaient toutefois toujours portées disparues vendredi parmi les habitants du quartier de Birere, sur lequel l'avion s'est écrasé après avoir raté son décollage de l'aéroport de Goma, le chef-lieu de la province du Nord-Kivu. Un précédent bilan faisait état de 40 morts - tous au sol - et d'une centaine de blessés. Plus de 60 occupants du DC-9, dont les sept membres de l'équipage, ont survécu à l'accident. (GFR)
Burundi: une attaque rebelle sur Bujumbura fait 14 morts - Article - actualités
Burundi: une attaque rebelle sur Bujumbura fait 14 morts
Quatre militaires burundais et 10 rebelles des Forces nationales de libération (FNL) ont été tués lors d'une "attaque de grande envergure" visant Bujumbura dans la nuit de jeudi à vendredi, selon le gouvernement burundais, accusé par la rébellion de saboter le cessez-le-feu.
"Les rebelles ont lancé une attaque de grande envergure sur la capitale de Bujumbura au cours de cette nuit", a déclaré le porte-parole adjoint de l'armée burundaise, le lieutenant-colonel Justace Ciza. "Les FNL ont lancé des dizaines d'obus de mortier sur la capitale pendant plus de trois heures et ils ont attaqué simultanément des positions militaires situées à la périphérie des quartiers Gikoto, Ramda et Gasenyi (nord de Bujumbura), Mutanga sud, Gishingano et Gatumba (est) et Musaga et Kanyosha (sud) de la capitale", a précisé l'officer. Selon le porte-parole du SFP Affaires étrangères, François Delhaye, ces combats n'ont pas eu de répercussions pour les ressortissants belges résidant dans la capitale. Il a déclaré vendredi que le calme était revenu sur Bujumbura au cours de la journée. (GFR)
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mercredi 16 avril 2008
La carcasse calcinée du DC-9 qui s'est écrasé à Goma, le 16 avril 2008
AFP - mercredi 16 avr, 05 h 42
Le bilan de l'accident de l'avion de ligne d'Hewa Bora, une compagnie privée de République démocratique
La carcasse calcinée du DC-9 qui s'est écrasé à Goma, le 16 avril 2008
CONFUSION SUR LE BILAN DE L'ACCIDENT D'AVION À GOMA, EN RDC | Photo - Yahoo! Actualités
CONFUSION SUR LE BILAN DE L'ACCIDENT D'AVION À GOMA, EN RDC
Reuters - Mercredi 16 avril, 00h31
Un avion de la compagnie congolaise Hewa Bora a raté son décollage et a foncé mardi sur un marché très fréquenté de Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo, tuant au moins 21 personnes au sol.
CONFUSION SUR LE BILAN DE L'ACCIDENT D'AVION À GOMA, EN RDC | Photo - Yahoo! Actualités
ACCIDENT D'AVION À GOMA | Photo - Yahoo! Actualités
ACCIDENT D'AVION À GOMA
Reuters - Mercredi 16 avril, 07h35
Un DC-9 de la compagnie congolaise Hewa Bora a raté son décollage mardi et a fini sa course dans un marché très fréquenté de Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo, faisant au moins 33 morts et 80 blessés. /Photo prise le 15 avril 2008/REUTERS/Lauren Vopni
Des habitants de Goma tentent d'éteindre l'incendie qui ravage un DC-9 qui s'est écrasé dans la ville le 15 avril 2008 | Photo - Yahoo! Actualités
Des habitants de Goma tentent d'éteindre l'incendie qui ravage un DC-9 qui s'est écrasé dans la ville le 15 avril 2008
AFP - Mercredi 16 avril, 14h49
Quarante personnes ont été tuées et plus de cent blessées dans l'accident d'un avion d'une compagnie congolaise mardi à Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), selon un nouveau bilan communiqué mercredi par le gouverneur provincial.
Un homme tente de briser le cockpit d'un avion après un crash à Goma en République démocratique du Congo, le 15 avril 2008 | Photo - Yahoo! Actualités
Un homme tente de briser le cockpit d'un avion après un crash à Goma en République démocratique du Congo, le 15 avril 2008
AFP - Mercredi 16 avril, 11h02
Trente-sept personnes ont été tuées et plus de cent blessées mardi dans l'accident d'un avion de ligne d'Hewa Bora, une compagnie privée de République démocratique du Congo (RDC), selon un bilan communiqué mercredi de sources hospitalières.
Un homme tente d'éteindre une maison en feu après le crash d'un avion à Goma en République démocratique du Congo, le 15 avril 2008. | Photo - Yahoo! Actualités
Un homme tente d'éteindre une maison en feu après le crash d'un avion à Goma en République démocratique du Congo, le 15 avril 2008.
AFP - Mercredi 16 avril, 11h02
"Il y a 21 morts confirmés, dont les corps ont été retrouvés et amenés à la morgue de (l'hôpital général de) Goma. Mais on ne peut à l'heure actuelle confirmer aucun décès parmi les passagers", a déclaré mardi le président de la compagnie aérienne Stavros Papaioannou, estimant que les victimes avaient été "fauchées" au sol au moment du crash.
Mise au point sur l' accident d' avion à Goma
Outre les faits de l' accident relatés précédemment, il est important à mon avis, de faire une mise au point sur la situation qui prévaut là bas.
L' aéroport de Goma est ouvert à tous les vents, et les limites de l' aéroport qui existaient auparavant n' existent plus.
De tout temps, Goma a servi de plaque tournante pour un tas de trafics à la congolaise pour "aider" les "frères" restés à Kinshasa.
Moyennant le fameux "matabich" n' importe qui peut mettre son petit colis dans un avion à l' insu de la société de transport et plus grave à l' insu des pilotes.
Suite à la coulée de lave d' il y a quelques années, une partie de la piste est inutilisable et donc les distances pour le décollage sont raccourcies.
Ce n' est donc pas difficile de deviner la suite de ce qui s' est passé.
Le pilote signale à la compagnie, qu' il peut prendre autant de kilos ou tonnes pour que son avion puisse décoller suivant certaines normes, mais suite au trafic autour de l' avion, on charge quelques tonnes en plus à l' insu des pilotes et arrivé fin de piste, il se retrouve dans l' impasse technique de ne plus pouvoir faire décoller son avion avec comme conséquence l' accident.
Un avion s'écrase à Goma: 60 morts selon la Croix-Rouge - MSN Actualités - Actualité étrangère - actualités
Un avion s'écrase à Goma: 60 morts selon la Croix-Rouge
Un avion de ligne d'une compagnie privée congolaise s'est écrasé mardi lors de son décollage de l'aéroport de Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). La Croix-Rouge a cité le chiffre de 60 morts.
L'avion, un DC-9 de la compagnie Hewa Bora, avait au moins 100 personnes à bord, selon le manifeste communiqué par la compagnie à la RVA à Kinshasa. Le nombre exact de passagers et de membres de l'équipage n'a pu être confirmé à Goma par la compagnie, qui reste injoignable. D'autres sources ont fait état d'un Boeing 727, dont Hewa Bora Airways (HBA) possède plusieurs exemplaires. Plusieurs personnes seraient parvenues à sortir de l'avion, mais des dizaines de passagers restaient piégés dans l'appareil, selon une source onusienne. L'avion de la compagnie Hewa Bora -qui se rendait à Kinshasa- s'est écrasé peu après son décollage de Goma, vers 14h30, à la limite entre le bout de la piste et le quartier populaire de Birere. (NLE)
Accident d'un boeing à Goma: 7 rescapés dont trois Belges, indemnes - Article - actualités
Accident d'un boeing à Goma: 7 rescapés dont trois Belges, indemnes
Trois belges figurent parmi les rescapés de l'accident d'un avion de ligne d'une compagnie privée de République démocratique du Congo (RDC). Les trois passagers belges en sont sortis indemnes mais choqués, a-t-on appris mardi de source diplomatique.
Cet accident survenu à Goma a fait des dizaines de morts, près de 70 blessés et sept survivants, selon un nouveau bilan de sources aéroportuaires, hospitalières et onusiennes. Selon une source diplomatique, 150 personnes se sont présentées mais 79 personnes sont effectivement montées à bord de l'appareil. "Il est possible que d'autres Belges d'origine congolaise se trouvaient également à bord de l'avion mais il est très difficile de retrouver ces noms parmi les listes folkloriques de la compagnie aérienne ou de la DG Migration", a-t-il ajouté. (NLE)
Accident d'un boeing à Goma: 7 rescapés dont trois Belges, indemnes - Article - actualités
mardi 15 avril 2008
monuc.org: La MONUC poursuit les opérations de sauvetage sur le fleuve Congo ::: 14/04/2008
Au moins cinq opérations de sauvetage sont enregistrées par les équipes fluviales de la Force de la MONUC depuis le début de l’an 2008. Bien que ces opérations ne fassent pas partie du mandat accordé par le Conseil de sécurité à la MONUC, les observateurs militaires de la mission onusienne continuent à faire preuve d’un grand professionnalisme.
C’était le 10 avril dernier que la dernière opération a été enregistrée. Une équipe de la Force de la MONUC en mission dans la Province du Bandundu a remarqué deux barges surchargées de cargaisons et de passagers qui allaient contre le courant d’eau avec un moteur très faible pour en faire face.
Quand le capitaine de la péniche a demandé l’assistance, l’équipe de la MONUC a décidé de prendre la barge en remorque jusqu’au plus proche village. Mais les tentatives de sauvetage de trois heures ont échoué à cause de très forts courants.
En ce moment, l’équipe de la MONUC a décidé de laisser la barge sur une côte en lieu sûr pour sauver la vie de plusieurs femmes et enfants à bord. Au total 32 passagers dont un diabétique, 14 femmes et 17 enfants de moins de 5 ans ont été rescapés avant que la barge continue son trajet vers l’amont du Kwamouth en direction de la rivière Kasaï. Ces derniers ont été débarqués dans le village de Mushie, à 95 km de Kwamouth.
Cette opération de sauvetage n’est pas le premier du genre. Le 3 avril 2008, à Kwamouth, situé à 161 km de Kinshasa, une équipe fluviale de la Force de la MONUC, en patrouille, a maîtrisé d’une façon courageuse l’opération de sauvetage d’un bateau en détresse. Il s’agissait d’une barge civile en voie de Ngunzulu à Bumba, dans la Province de l’Equateur, avec 69 passagers et 4 membres d’équipage à bord. La barge a coulé au centre du fleuve Congo en raison d’une fuite dans sa coque.
Deux officiers, observateurs militaires de la Force de la MONUC et sept membres d’équipage de nationalité congolaise ont immédiatement entamé des mesures de sauvetage. Au cours de cette opération, 73 personnes ont pu être évacuées. La pompe d’évacuation d’eau de la barge a pu être réparée afin de stabiliser celle-ci.
Le 15 février 2008, une patrouille fluviale de la Force de la MONUC avait aussi sauvé la vie d’un pêcheur à bord d’une pirogue qui avait chaviré à Kinkole.
Par ailleurs, 70 passagers d’un bateau dont le moteur était tombé en panne pendant deux jours avaient également été évacués le 18 février 2008, non loin de Yumbi.
monuc.org: La MONUC poursuit les opérations de sauvetage sur le fleuve Congo ::: 14/04/2008
lundi 7 avril 2008
Commémoration du génocide rwandais
vendredi 4 avril 2008
lunch
Salvaje y libre
Wildlife
Petite parenthése, en dehors du Congo.
Magnifique photo d'un oiseau